Nous apprenons avec beaucoup de peine la disparition de
M. Jean-Jacques Lefrère.
Durant ces cinq dernières années, nous avons pu admirer
son intelligence et son érudition - qui n'avaient d'égal que sa fabuleuse
capacité de travail et de synthèse -, sa vitalité et son humour, sa générosité, sa détestation
des faux-semblants, sa complexité, aussi. Et nous avons cru deviner, sous ses
dehors de Gascon batailleur, une grande sensibilité, celle d'un homme pudique,
aux amitiés fermes et authentiques.
Nos pensées vont à sa très sympathique famille.
Nos pensées vont à sa très sympathique famille.
Jean-Jacques et Kathryn Lefrère au salon du livre ancien, Grand palais, 2010